Les personnes de 50 ans et plus qui souhaitent adopter un mode de vie actif, rencontrer des gens et vivre de nouvelles expériences trouveront assurément ce qu’elles cherchent au Réseau FADOQ qui fait bouger plus de 70 000 personnes chaque semaine.
Le Réseau FADOQ prend les grands moyens pour sensibiliser, former et outiller ses membres, et ce, dans toutes les sphères de leur vie. Ces renseignements prennent la forme d’ateliers, de plateformes Web, d’articles concis, de fiches à jour et autres, suivant le principe qu’une personne aînée avertie en vaut deux!
Les bénéfices du jardinage écologique sont nombreux, autant pour le jardinier que pour l’environnement. Voici quelques-uns des principes à respecter pour jardiner en harmonie avec la nature : bannir les produits chimiques, limiter la consommation d’eau et valoriser la biodiversité.
Le terme « pesticide » désigne les substances et produits chimiques utilisés pour tuer les végétaux et les animaux indésirables. Les pesticides présentent des risques pour la santé humaine et l’environnement.
Au Canada, la législation des pesticides est partagée entre les gouvernements fédéral et provincial et les municipalités. Depuis 2018, le gouvernement du Québec encadre l’usage des néonicotinoïdes (« néonics »), qui déciment notamment les populations d’abeilles.
À la différence des pesticides, les engrais n’ont pas pour fonction d’éliminer les organismes indésirables. Ils favorisent plutôt la croissance des plantes en leur apportant des compléments d’éléments nutritifs.
Au besoin, les engrais peuvent être utilisés, en plus du compost, pour nourrir les plantes les plus gourmandes. Il est primordial de choisir des engrais qui n’ont subi aucune transformation chimique. Les engrais chimiques appauvrissent les sols et polluent les nappes phréatiques.
Les engrais naturels peuvent être d’origine organique (résidus de végétaux ou d’animaux) ou minérale (roches broyées).
Alternatives aux produits chimiquesDécouvrez les méthodes de contrôle écologiques des ravageurs |
L’eau est une ressource naturelle précieuse, à consommer avec modération. Le Québécois moyen utilise plus de 400 litres d’eau potable par jour. L’irrigation des pelouses et jardins peut grandement augmenter la consommation d’eau en période estivale.
L’eau doit donc être utilisée avec discernement, en évitant les arrosages superficiels et fréquents.
De plus, récupérer l’eau de pluie dans un baril est une excellente façon de réduire sa consommation d’eau potable. La pluie est abondante…et gratuite!
Pour en savoir plus sur la récupération d’eau de pluie
On peut aussi améliorer ses techniques d’arrosage. L’arrosage par aspersion comporte plusieurs désavantages, notamment l’évaporation de grandes quantités d’eau. À l’inverse, la micro-irrigation est une méthode qui assure la juste distribution de l’eau.
Pour en savoir plus sur les techniques d’arrosage
La biodiversité désigne la variété des espèces, de leurs caractères génétiques et de leurs habitats ou écosystèmes.
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La biodiversité permet aux espèces et aux écosystèmes de maintenir leurs fonctions et de survivre lorsque surviennent des changements dans l’environnement. Il peut s’agir de nouveaux prédateurs, de parasites ou de maladies évoluant rapidement, d’espèces envahissantes compétitives, de conditions climatiques extrêmes, de désastres naturels ou de perturbations humaines. Source : Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec |
Dans un jardin écologique, la diversité permet des interactions multiples et bénéfiques entre plantes et insectes.
Cultiver certaines plantes indigènes peut aussi favoriser la biodiversité au jardin. Ces plantes servent de nourriture, d’abri et de lieu de reproduction à la faune indigène.
