Nouvelle
Une nouvelle ministre des Aînés
Joanne Thompson, députée St. John's-Est à Terre-Neuve-et-Labrador, devient la nouv...
Pour Gina Lariccia, marcher est la meilleure thérapie qui soit.
Lorsque sa semaine de travail tire à sa fin, la femme de 65 ans contacte sa « gang de filles » pour savoir à quel endroit elles veulent aller faire de la randonnée pédestre. Que ce soit au Parc régional des Chutes Monte-à-Peine-et-des-Dalles à Sainte-Béatrix, au Mont du Calvaire à Oka ou ailleurs, elle sait que le plaisir sera au rendez-vous.
« Ça me permet de m’évader, explique-t-elle. Il y a beaucoup de côtes, mais j’adore ça. Je conseille aux gens de commencer ne serait-ce que 15 minutes et d’augmenter la cadence par la suite. Ça fait tellement du bien de marcher, surtout dans les bois. »
Avec ses amies, Gina Lariccia souhaite partir prochainement en voyage dans un pays où il y a de belles randonnées pédestres à faire. Pas un voyage organisé, insiste-t-elle, mais un périple où elles feront elles-mêmes leur itinéraire en train et en autobus. Étant d’origine italienne, c’est certain qu’elle aimerait aller en Sicile, mais la Grèce l’intéresse également. Une chose est sûre, c’est qu’à sa retraite, elle espère être en mesure de voyager le plus souvent possible.
Gina Lariccia affirme qu’on lui donne souvent une dizaine d’années de moins que son âge réel. Elle attribue cette jeunesse aux gènes de sa mère et au fait qu’elle était gymnaste lorsqu’elle était enfant.
« Les gens sont surpris lorsque je fais des culbutes. Disons que je ne bouge pas comme une femme de 65 ans. »
Sa force, elle la puise dans son approche qui est ultra positive.
« C’est cliché, mais je crois qu’il faut prendre une journée à la fois, choisir d’avance ce que l’on veut faire et mettre le tout en action. Je me fais des listes et je m’assure d’accomplir toutes les tâches sur cette dite liste. J’apprends à me dépasser, même à mon âge. »
D’autres souvenirs…