Communiqué
Carte blanche à Janette Bertrand dans le magazine Virage
L’inspirante Janette Bertrand est en couverture du nouveau numéro de Virage, qui e...
Jocelyne Simoneau est en pleine préparation d’un périple au Japon qu’elle prévoit depuis un certain temps.
Globe-trotteuse depuis toujours, la femme de 76 ans effectue au moins un voyage par année depuis l’annonce de sa retraite en 2011. Plus souvent qu’autrement, elle voyage seule, avec son sac à dos et la durée s’échelonne habituellement sur trois mois. En 2019, elle a visité le Kirghizistan, l’Ouzbékistan et le Kazakhstan.
« J’ai rencontré un professeur au Kirghizistan qui était content de montrer à ses étudiants qu’une femme peut sortir de son pays. »
Parmi ses plus beaux souvenirs, le Kilimandjaro en 2014, le camp de base de l’Everest en 2009 et le Chemin de l’Inca.
Sa passion, elle l’a développée en visitant Expo 67. Cet événement l’a grandement séduite et dès lors, elle a toujours cherché à découvrir d’autres cultures. Native de Victoriaville, elle s’estime chanceuse d’avoir eu des parents qui étaient ouverts sur le monde. Ces derniers l’ont envoyée tantôt à Toronto, tantôt à Boston dans le but de parfaire son anglais.
« J’ai toujours aimé voir le monde, avoue la femme de 76 ans. Lorsque je travaillais comme infirmière, il m’arrivait fréquemment de prendre des congés sans solde pour partir. »
Selon elle, l’âge n’est aucunement un obstacle, c’est comme lorsqu’elle était âgée de 40 ans. Depuis la lecture d’un article racontant l’aventure d’une dame de 90 ans ayant visité l’Antarctique, l’objectif de Jocelyne Simoneau est de voyager jusqu’à cet âge.
« Afin d’éviter les mauvaises surprises, je m’arrange pour être bien préparée. Je connais mes itinéraires à l’avance et je sais où je vais dormir. Il y a toujours des petits changements en cours de route, mais en général, je m’en tiens à mon organisation. Je suis prudente, je rentre tôt à l’hôtel. »
Mon secret : je pense positivement, je mange très bien depuis 50 ans, rien de transformé. Récemment, je suis tombé dans le bio et j’achète des paniers. C’est juste dommage que ce soit aussi dispendieux.
D’autres souvenirs…