Communiqué
Carte blanche à Janette Bertrand dans le magazine Virage
L’inspirante Janette Bertrand est en couverture du nouveau numéro de Virage, qui e...
Après avoir travaillé près de 37 ans à la Domtar, Martial Pruneau est à la retraite depuis environ 13 ans. Mais pas question de se tourner les pouces. L’homme de 69 ans s’est découvert une passion pour la généalogie. Au moment d’écrire ces lignes, il avait déjà rédigé quatre livres de famille.
« Un jour, j’ai rencontré un Pruneau qui faisait des arbres généalogiques, raconte-t-il. Ça m’a mis la puce à l’oreille et j’ai commencé tranquillement à faire l’arbre généalogique de ma famille proche. Puis, on m’a demandé de faire celui de ma mère ainsi que celui de plusieurs autres familles de Pruneau. Aujourd’hui, je fais des arbres pratiquement à plein temps. J’y consacre environ quatre heures par jour. Ça m’amuse. »
Outre la généalogie, l’homme de Windsor multiplie les passe-temps, comme l’entraînement, la danse, le chant choral… ainsi que le karaoké!
« J’ai ajouté le karaoké à mon arc récemment. J’organise des soirées au camping. »
Quant à la danse, Martial Pruneau en est un véritable adepte. Il a donné des cours et a pratiqué la danse pendant environ 20 ans. Puis, un jour, une amie lui a parlé des soirées dansantes du club FADOQ Les Paysans de Saint-Élie-d’Orford.
« Ça m’a intrigué, raconte-t-il. J’étais membre FADOQ depuis longtemps, mais c’était pour les rabais. Là, ma femme et moi, nous avons découvert les activités. C’est vraiment génial. Les soirées dansantes, et le jeudi, où l’on joue aux cartes, viennent combler des trous dans notre horaire et nous en sommes très heureux. »
Sans compter les nombreuses nouvelles amitiés ainsi nouées.
Son conseil ultime : « Trouve-toi un hobby, sinon tu vas t’ennuyer. L’expression « mourir d’ennui » n’est pas employée qu’au figuré. »
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