Nouvelle
Le fédéral laisse tomber les personnes retraitées
Le gouvernement fédéral a de nouveau montré son manque de considération pour les p...
Monique Papillon a travaillé pendant 40 ans dans un bureau d’avocats. Quatre décennies de stress.
Lorsque la retraite a sonné, il était donc primordial pour elle de se mettre en mode évasion.
Aujourd’hui âgée de 64 ans, la femme de Brossard et son mari Simon, 68 ans, entendent faire deux voyages par année, dont certains à forte teneur en aventure. L’hiver dernier, le couple s’est rendu à l’autre bout du monde, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Elle est tombée en amour avec ces pays.
« Ce sont des destinations merveilleuses, en particulier la Nouvelle-Zélande! Je déménagerais là-bas n’importe quand, raconte-t-elle. Il y a de tout : des montagnes, des lacs, des volcans, la mer. Nous avons eu beaucoup de plaisir à y faire de la randonnée. »
Avant l’Océanie, Monique Papillon a visité la Tanzanie, la Grèce, l’Espagne, l’Angleterre, la France et le Pérou. À l’automne 2024, elle souhaite mettre le cap sur Venise afin d’y célébrer ses 65 ans.
Pour trahir son âge, la sexagénaire affirme qu’on ne doit pas cesser ses activités quotidiennes à la retraite. Il importe également de faire fi des petits bobos tout en s’imposant certaines limites, sans oublier de mettre l’orgueil de côté.
« En vieillissant, il faut accepter certaines situations, explique-t-elle. Par exemple, de prendre une voiturette de golf lorsqu’il fait trop chaud. »
Monique Papillon est récemment redevenue membre FADOQ après avoir délaissé l’organisme pendant quelques années. Ce qui lui plaît le plus : rencontrer du nouveau monde et partager ses expériences.
Bons voyages !
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